Une politique d’innovation avisée mise sur la concurrence, la formation et des réseaux internationaux

L’innovation est la principale matière première de la Suisse et pourtant on ignore pour l’essentiel comment il est possible de l’encourager. Une enquête récente d’economiesuisse montre que, aux yeux des entreprises, la concurrence, la disponibilité de main-d’oeuvre ainsi que des hautes écoles solides sont les principaux facteurs externes pour stimuler l’innovation. Dans l’étude qu’elle présente aujourd’hui, l’organisation faîtière de l’économie indique ce que cela signifie pour la politique. Tout ce qui porte l’étiquette d’« encouragement de l’innovation » ne bénéficie pas à l’innovation.

 

Au cours de ces dernières semaines, economiesuisse a réalisé auprès d’experts issus des principales branches de l’économie suisse une enquête sur le thème de l’innovation. Les résultats montrent que l’innovation est vitale – non seulement dans l’industrie, mais également dans le secteur des services.Environ 24 % des entreprises considèrent qu’un vaste savoir-faire est un facteur clé pour le développement et la mise en oeuvre réussie de nouvelles idées. À cet égard, deux conditions jouent un rôle particulièrement important : l’esprit d’entreprise et la tradition d’innovation de l’entreprise. Ce constat contredit l’idée répandue selon laquelle, en Suisse, ce sont les jeunes start-up qui innovent le plus. (www.economiesuisse.ch)

 

 

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